En discussion au Sénat, cette mesure, prévue pour les cas d’emprise et de danger immédiat, revient à positionner le soignant en sauveur alors qu’il doit éclairer le consentement de la victime, critique, dans une tribune au « Monde », Anne-Marie Curat, présidente du Conseil national de l’ordre des sages-femmes.
Source : Le Monde – consulter la tribune